C’est en observant les nombreux dysfonctionnements de la prison de Kosuge que l’idée lui serait venue.
Réfugié au Liban depuis son évasion rocambolesque du Japon, Carlos Ghosn n’aurait pas pour autant perdu son sens des affaires. C’est en observant les nombreux dysfonctionnements de la prison de Kosuge, où il était incarcéré dans l’attente d’un éventuel procès avant d’être placé en liberté conditionnelle, que l’idée serait venue à l’ancien patron de l’alliance Renault-Nissan d’acquérir le centre de détention pour le restructurer.
Publicité :
Une fusion entre les ailes Nord et Ouest
Il préconiserait notamment une fusion entre les ailes Nord et Ouest du centre, où des synergies pourraient être trouvées dans la livraison des repas. L’aile Sud quant à elle pourrait facilement se porter acquéreuse de l’aile Est grâce aux liquidités dégagées par son service blanchisserie.
Carlos Ghosn pourrait ainsi lever des fonds auprès de partenaires financiers Libanais et effectuer plusieurs acquisitions dans le secteur. Une holding piloterait l’ensemble depuis les Pays-Bas.
Carlos Ghosn n’était pas immédiatement disponible pour répondre à nos questions.