Une caissière du SuperO de Juan-les-Pins était payée pour travailler. Quand il s’en est rendu compte, le Directeur l’a licenciée.
Quand Michel Heuriaut, directeur du SuperO de Juan-les-Pins a parcouru le rapport annuel de gestion, il a d’abord cru à une erreur. Parcourant au hasard les annexes comptables de la société, il est tombé sur la fiche de Solenne A., caissière dans son établissement depuis 27 ans. Et il a découvert qu’elle était payée tous les mois. Demandant des explications aux services concernés, il s’est alors fait confirmer que la salariée de l’établissement était effectivement rémunérée, et même chaque mois.
“Malgré 6 millions de chômeurs, il faut continuer à payer les gens?”
Furieux de se rendre compte que “malgré 6 millions de chômeurs il faille continuer à payer les gens”, Michel Heuriaut a demandé à se faire présenter la salariée en question, et lui notifia lui-même son licenciement immédiat. “Si au moins vous aviez mis l’argent de ce soi-disant salaire dans votre caisse enregistreuse, nous aurions pu passer outre cet incident” lui aurait-il signalé.
Plus grave, le Directeur soupçonne maintenant les employés de son établissement d’avoir comploté dans son dos pour s’octroyer des jours de congés. “Je suis tombé sur un fichier excel avec le nom de tous les salariés, un calendrier et des mentions “CP” et “RTT”, à mon avis un code secret entre eux. Dès que j’aurai déchiffré tout ça je compte bien m’en servir aux Prudhommes si besoin.”
Les semaines qui viennent s’annoncent tendues au SuperO de Juan-les-Pins.
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